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29 novembre 2017 3 29 /11 /novembre /2017 11:33

A l'heure où de nombreux mieusserands subissent des cambriolages certains pourraient être tentés de prendre des mesures pour se défendre eux-mêmes en présence de malfaiteurs. Mais attention c'est un comportement qui peut se retourner contre eux. Voici un article paru sur le site 'L'Obs" et intitulé "Braquages, cambriolages et légitime défense : que dit la justice ?", qui donne quelques exemples où des personnes cambriolées se sont défendues avec une arme.

Cet autre article évoque quelques remarques autour de la légitime défense.

Pour conclure, s'il est tentant de tout tenter pour se défendre, et le droit nous le permet sous certaines conditions,on ne peut que conseiller la prudence et le recours à la gendarmerie.

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28 novembre 2017 2 28 /11 /novembre /2017 11:13

Ce lundi 27 novembre les cambrioleurs ont été actifs sur le village de Messy. Grâce au signalement d'un véhicule suspect à la gendarmerie de Taninges, celui-ci a été repéré stationné dans le hameau et une personne a été interpellée. Il semble malheureusement qu'il n'était pas seul et que celui ou ceux qui l'accompagnai(en)t ont pu prendre la fuite.

Ceci montre que la vigilance de tous est de rigueur et qu'il faut continuer à informer la gendarmerie de tout ce qui peut vous paraitre suspect.

Gendarmerie de Taninges : 0450342003

Merci aux gendarmes pour leur travail!

Pour information voici les chiffres concernant les cambriolages en Haute-Savoie en 2016 :

Cambriolages et violations de domiciles en progression

Les cambriolages et les violations de domiciles du département de la Haute Savoie sont au nombre de 7 898 sur une année pour une population de 783 127 habitants. Le risque d'être cambriolé est donc de 1 sur 60. L'année précédente il y a eu 7 378 violations de domiciles ou cambriolages, 2 ans auparavant il y en avait eu 7 640. Viennent s'ajouter aux cambriolages les incendies volontaires de biens privés au nombre de 211 sur un an.

 

  • Violations de domicile : 101
  • Vols à main armée contre des particuliers à leur domicile : 8
  • Vols violents sans arme contre des particuliers à leur domicile : 15
  • Cambriolages de locaux d'habitations principales : 2 890
  • Vols avec armes blanches contre des particuliers à leur domicile : 8
  • Autres vols simples contre des particuliers dans des locaux privés : 2 627
  • Cambriolages de résidences secondaires : 351
  • Vols avec entrée par ruse en tous lieux : 111
  • Cambriolages de locaux industriels commerciaux ou financiers : 1 021
  • Cambriolages d'autres lieux : 766
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27 novembre 2017 1 27 /11 /novembre /2017 21:57

Un récent article paru dans le Dauphiné Libéré fait état de nombreux cambriolages sur la région d'Annecy. Hélas ces agissements ne se limitent pas à l'agglomération annécienne, mais sévissent également sur notre commune de Mieussy, et plus particulièrement sur le haut de la commune. Depuis moins d'un mois le nombre de ceux-ci s'élève à plus d'une dizaine. Le message de la gendarmerie de Taninges est similaire à ce qu'on peut lire dans l'article du Dauphiné Libéré : " La gendarmerie  appellent les habitants à la vigilance : signaler les allées et venues suspectes de personnes inconnues, bien fermer portes et fenêtres (volets clos) lorsqu’on s’en va, laisser une lumière éclairée pour faire croire à une présence, ou  demander à une personne de confiance de porter une vigilance particulière en cas d'absence. "

Les gendarmes conseillent de leur signaler toute présence suspecte. Pour information le numéro de la gendarmerie de Taninges est le 04 50 34 20 03

 

 

Cambriolages, la série continue sur Mieussy!

Il serait bon que le bouche à oreille fonctionne sur la commune pour informer les habitants de ce risque important, car il semble qu'un grand nombre de mieusserands l'ignore encore à l'heure actuelle. Il faut espérer que la gendarmerie réussisse rapidement à arrêter les responsables. Les habitants du secteur ont encore en souvenir la traque de voleurs surpris en flagrant délit sur Quincy fin juin, avec l'hélicoptère de la gendarmerie.

Il faut savoir qu'outre le préjudice matériel d'un cambriolage l'un des aspects qu'on minimise la plupart du temps est l'impact psychologique qu'il représente pour les victimes. Voici un article qui décrit très bien ces conséquences.

Que peut-on faire de plus que ce que préconisent les gendarmes? Cet autre article nous informe que les malfaiteurs se servent des réseaux sociaux pour connaitre notre mode de vie, et avoir des informations sur notre présence ou non à notre domicile. Il faut en être conscient. Au sujet de Facebook et pour ceux qui ont un compte voici une page qui peut être intéressante.

Il semble qu'existe une piste intéressante pour faire diminuer ces faits, avec la piste des voisins vigilants, très bien décrite dans cet article du "Nouvel Obs". On voit que c'est un dispositif qui peut être à l'initiative des mairies. Alors qu'à Mieussy le site est en "travaux" depuis un certain temps, on peut légitimement espérer que nos élus vont se saisir très rapidement de ce problème. On constate que le site municipal n'est plus accessible depuis le départ d'une employée. Il faut espérer que cela n'a rien à voir et que ce moyen de communication va bientôt redevenir opérationnel. Nous pouvons également souhaiter que nos élus seront plus efficaces pour appréhender ce problème, qu'il ne l'ont été pour gérer la traversée du hameau de Messy, avec la déviation du Praz-de-Lys et les camions de cailloux en provenance de Roche-Pallud!

En tout cas il est difficile de ne rien faire de plus que de compatire avec toutes les victimes.

Cambriolages, la série continue sur Mieussy!
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23 novembre 2017 4 23 /11 /novembre /2017 09:20

Cette question a été abordé lors du dernier conseil municipal du jeudi 16 novembre 2017.

Lors de la dernière saison le financement des forfaits pour les jeunes scolaires domiciliés sur la commune avaient coûtés autour de 60 000€. Une somme importante pas évidente à financer.. Cette année il a été décidé de faire appel aux familles pour en financer une partie. Celles-ci devront débourser 35€ pour se voir délivrer un forfait saison.

Voici comment s'articule le financement de ces forfaits : 

          Le forfait annuel coûte 213€, c'est un forfait mixte.

          La SPL les vend à la commune avec une ristourne de 25%.

          Les parents devront s'acquitter de 35€.

          Le reste sera à la charge de la commune soit 124,75€.

L'intérêt de ce système c'est que les forfaits inutiles (jeunes qui ne pratiquent pas le ski) ne seront pas demandés et ne seront donc pas financés par la commune comme c'était le cas auparavant. On peut se demander pourquoi personne n'avait envisagé une participation financière des familles dès la saison dernière?

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21 novembre 2017 2 21 /11 /novembre /2017 10:03

Comme le fait remarquer l'un de nos lecteurs, depuis quelques temps on ne voit plus affichés de commentaires sur les articles publiés.

Ce lecteur s'interroge pour savoir s'il s'agit là d'une forme de censure. Ce n'est pas du tout le cas. Nous signalons simplement que dorénavant, tout commentaire, pour être affiché, ne devra plus être anonyme. Nous vous remercions pour votre compréhension.

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20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 12:58

Voici un article du Dauphiné Libéré publié le 20 novembre 2017 qui évoque un cahier scolaire des années 50 et retrouvé dans un hameau de Mieussy. On y découvre qu'à cette époque les enfants avaient un certain savoir faire, étonnant, non?

Voici l'article ayant pour titre "Les anciens cahiers d’école de son grand-père font le buzz sur Twitter" : 

Tout commence dans un petit hameau de Haute-Savoie, près de Mieussy. Julie Tacussel, 18 ans, étudiante à Lyon, tombe sur les anciens cahiers d’école de son grand-père à l’occasion d’une réunion de famille. Ils avaient refait surface lors d’un déménagement.

Dans les pages de ces cahiers d’époque se trouvent des croquis détaillés, tous réalisés à la main, et une écriture particulièrement soignée.

Surprise par ce contenu, Julie décide de prendre des clichés et de les publier sur Twitter : « Je trouvais ça beau et intéressant. On voit toujours des blagues et pas souvent de choses sérieuses », affirme-t-elle.

Rapidement, le réseau social s’emballe : « J’ai été très surprise par le nombre de réactions. À 300 retweets (partages), je trouvais ça beaucoup, puis c’est parti à 20 000 en une journée ! », confie Julie.

« Elle l’a fait dans mon dos ! », plaisante Gérard, le grand-père

Sa famille aussi est particulièrement étonnée. En premier lieu son grand-père Gérard, qui n’était même pas au courant des publications de sa petite-fille : « Elle l’a fait dans mon dos ! », plaisante-t-il. « C’est le soir qu’elle nous a dit qu’en une heure, il y avait eu énormément de réactions. Ça semble irréel, on tombe sur le cul ! »

Depuis, les photos ont été partagées plus de 50 000 fois sur le réseau social. Et les commentaires sont nombreux. Les internautes soulignent la différence entre les cahiers d’écoliers des années 1960 et ceux d’aujourd’hui : « Certains disent que c’était bien la génération d’avant, avec une belle écriture. D’autres me disent que les croquis ressemblent à leurs cours de médecine, alors que lui faisait ça au collège ! », affirme Julie.

Des cahiers qui remontent aux années 1960

De 1956 à 1961, Gérard Tacussel étudie à l’école Ferdinand-Buisson, à Voiron. C’est à cette époque qu’il réalise ces cahiers. Dans cette école nationale professionnelle, devenue ensuite lycée technique, les élèves réalisent de nombreux croquis à la main. Rien d’anormal, donc, pour Gérard Tacussel : « Dans ma classe de trente, tous nos cahiers étaient comme ça. On écrivait avec la plume Sergent-Major et de façon appliquée. On portait l’uniforme, un élève était en charge d’allumer le feu, l’autre du tableau, et il y avait une forte discipline. »

Les pages de ces anciens cahiers d’école, témoins d’une autre époque, sont donc particulièrement surprenantes pour les nouvelles générations. Au point donc d’atteindre ces dizaines de milliers de réactions, qui ont contraint Julie à fermer provisoirement son compte : « Ça me faisait beaucoup trop de notifications, mon téléphone buguait ! », explique-t-elle.

 

Nouvelles de Mieussy! Et du siècle dernier...

On peut retrouver tous les commentaires suscités par cette publication sur ce lien. Enfin si vous avez un compte Twitter c'est plus facile.

Incroyable de découvrir qu'au siècle dernier les élèves faisaient tout à la mains! Enfin plutôt à la main (et si possible la droite, la gauche n'était pas très bien vue). Un commentaire insiste sur le fait qu'à l'époque, ils avaient le temps; ça c'est sûr. A cette époque, on allait à l'école même le samedi après-midi. Du coup on passait pas mal de temps à faire de l'orthographe, de la conjugaison, de la grammaire... Pour les plus grands on faisaient même les calculs à la règle à calcul. Et le dessin industriel se faisait avec des instruments tels que té, équerres, compas. Bref, tout à la main. Mais en remontant assez loin, il y en a même qui écrivaient sur la pierre avec des marteaux et burins, d'autres sur du papyrus. C'est assez dingue quand on y pense!

Mais il faut vivre avec son temps, et pour ceux qui ont appris à écrire comme le grand-père de cette étudiante, il faut sans cesse remettre son ouvrage sur le métier, pour survivre et se mettre au niveau des apprentissages des nouvelles technologies.

Dire que dans peu de temps on s'étonnera des utilisateurs de smartphones. Ça fait peur, non?

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16 novembre 2017 4 16 /11 /novembre /2017 19:16

Dans le cas présent on parle d'une entreprise dont le rejet des eaux usées correspond à un équivalent d'environ 10 000 habitants. Cet article du Dauphiné Libéré, intitulé "L’Étoile du Vercors (groupe Lactalis) continue de polluer et de déverser ses effluents dans la rivière. Sans prise de position ferme de l’Etat Un maire rural face à une multinationale", nous décrit les faits.

Voici l'article en question :

Selon nombre d’élus et d’habitants, « c’est un scandale écologique qui perdure depuis trop longtemps ». Une pollution des eaux de l’Isère par une multinationale qui refuse de se plier à la loi. Un “petit” maire rural lui fait face tant bien que mal…

Il a les épaules (très) larges et (très) solides. Dix-sept ans qu’il porte le poids du dossier “Assainissement” de la fromagerie Étoile du Vercors située à Saint-Just-de-Claix. Cette société, appartenant à la multinationale Lactalis depuis fin 2011, déverse ses effluents dans l’Isère.

« De 8 000 à 10 000 équivalents habitants, s’indigne Joël O’Baton, maire de la commune. C’est comme si une ville comme celle de Saint-Marcellin n’était pas épurée ! » Une situation illégale. Une bataille juridique qui n’en finit pas… « Je ne lâcherai rien, même si les pressions sont de plus en plus fortes. Après celles de Lactalis, je subis celles, incompréhensibles pour l’élu que je suis de l’État. Jusqu’où l’administration ira-t-elle pour défendre une multinationale hors la loi ? »

Un tuyau d’assainissement public arrive à la porte de l’entreprise…

L‘Étoile du Vercors, installée à Saint-Just-de-Claix depuis 1940, refuse de se connecter à un réseau d’assainissement public. « C’est pourtant l’Étoile du Vercors qui a demandé à la collectivité, en 2000, ce raccordement, explique Bernard Perazio, ancien maire d’Auberives-en-Royans, et vice-président du Département, chargé de l’eau et de l’assainissement. Un équipement intercommunal pour un montant de 22 M d’euros a donc été mis en place en 2014.

Il répond aux besoins de Lactalis et de deux autres sociétés agroalimentaires basées sur le même site. Ces deux dernières se sont immédiatement raccordées au réseau public. Et oh surprise ! Lactalis, elle, a refusé. Préférant continuer de déverser ses eaux usées dans l’Isère plutôt que de se brancher au tuyau qui arrive quasiment dans sa cour… »

Les élus locaux affirment avoir tout mis en œuvre pour que les normes environnementales et communales soient respectées et que la loi soit appliquée.

« C’est un énorme investissement effectué avec de l’argent public, insiste Joël O’Baton. C’est difficile d’expliquer cela à nos concitoyens, chez qui je suis parfois obligé d’aller dresser des procès-verbaux parce que leur fosse septique n’est pas conforme. Ou de l’expliquer aux agriculteurs à qui on impose des normes environnementales drastiques. »

« Le petit maire rural que je suis ne pliera pas »

Contre vents et marées, Joël O’Baton essaie de maintenir le cap et les batailles juridiques (voir par ailleurs). « Après les multiples attaques en justice de Lactalis et son armada d’avocats, la pression de l’État sur moi se fait grandissante. On veut me tenir la main pour signer un permis de construire d’une station d’épuration que Lactalis souhaite construire sur un terrain non constructible, en zone agricole.

Mais le petit maire rural que je suis ne pliera pas. Il est hors de question que je valide la construction de cette station d’épuration privée, alors que la collectivité a fait le travail et les investissements nécessaires. C’est une question d’éthique, de justice et de sécurité. » Le maire prend pour exemple l’importante pollution d’une rivière, en Île-et-Vilaine, fin août. Plus de quatre tonnes de poissons morts ont été retirées de la Seiche après des rejets d’une usine Lactalis.

« Je ne ferai pas prendre un tel risque à notre environnement. Les parlementaires isérois ont été saisis de cette affaire, et en ont informé les ministres successifs, sans retour. Nous attendons la position du ministre Nicolas Hulot, connu pour être très sensible à l’écologie… »

Contactés, la direction de l’Étoile du Vercors à Saint-Just-de-Claix, et les services de la préfecture à Grenoble, n’ont pas donné suite à nos appels, messages ou questions.

Question assainissement il est de notoriété que pour les élus de Mieussy, ce n'est pas quelque chose qui les concerne vraiment. On a vu récemment qu'en matière d'aménagement du territoire sur le sujet c'est le fait du Prince. Mais on constate également que certains ne sont pas trop pressés pour assumer leurs responsabilités en la matière. En effet où en est-on concernant la dérogation de la fruitière dont les rejets correspondent à l'équivalent de 750 habitants? Cette dérogation est-elle accordée à perpétuité ou y a-t-il un échéancier pour qu'une mise aux normes soit réalisée?

Alors à Mieussy, en matière d'assainissement, on fait ce qu'on veut ou pas?

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11 novembre 2017 6 11 /11 /novembre /2017 09:55

C'est l'info que nous donne aujourd'hui le Dauphiné Libéré. On voit au travers de cet article que même les grandes stations diversifient leurs offres à la clientèle.

Depuis longtemps au Québec des centres offrent des activités ludiques, autres que le ski alpin, autour de la neige. Au val d'Aoste, à Cogne entre autres on peut pratiquer la luge dans des parcs sécurisés.

Voici l'article du Dauphiné :

Megève ose la nouveauté cet hiver, avec une piste de luge sur neige qui ouvrira en décembre sur le domaine skiable que dirige Laurent Berger. Équipé du matériel fourni par le prestataire, Laluge offrira presque 3 000 mètres de descente, au travers des sapins sur sa partie haute, puis dans une zone dégagée en partie basse. Le départ se fera au sommet du Mont d’Arbois pour une arrivée à la gare intermédiaire de la Princesse.

L’installation sera donc accessible uniquement aux heures d’ouverture des remontées mécaniques ; elle a d’ailleurs été conçue comme un complément à l’offre de ski. Des descentes seront ainsi offertes avec certains forfaits de remontées mécaniques. « Nous sommes dans une logique de diversification. Cette luge s’adresse à tous les âges, les plus jeunes devant être accompagnés d’un adulte. Mais on sait que c’est un produit qui va surtout marcher auprès des ados et des jeunes adultes », projette Guillaume Pellé, le responsable des relations clients.

L’idée est venue de Megève Domaine skiable, inspirée par des installations du même type, comme Colorado Park à La Plagne. « Depuis l’annonce de l’ouverture de Laluge, tous les retours que nous avons sont enthousiastes », se félicite le responsable des relations clients. L’accent sera mis sur ce nouvel équipement dans les supports de communication de l’hiver.

Une télécabine changée

Et si Megève propose déjà une luge 4S (quatre saisons) sur le versant d’en face, « avec Laluge, on n’est pas du tout sur les mêmes sensations de glisse. Là il s’agit d’une luge sur neige, tandis que la luge 4S sur rail est plus une attraction de type “manège” », argumente Guillaume Pellé.

Autre nouveauté de l’hiver : le village des Lutins, au sommet de Rochebrune, qui après un premier hiver de test concluant, sera étoffé cette saison pour devenir un véritable parc de jeux avec un animateur présent tous les après-midi. L’idée étant, une fois encore, de diversifier l’offre, avec un produit cette fois-ci totalement destiné aux enfants. Enfin, on notera que la télécabine du Chamois a été changée cet été, avec un débit qui passe à 1 750 personnes à l’heure, et des cabines six places plus confortables. Un projet à 4,5 M€.

En attendant vous avez jusqu'au 10 décembre pour profiter d'un forfait saison sur Praz-de-Lys/Sommand, avec 25% de réduction.

Megève : une nouvelle piste de luge de 3 km

Pour le ski de fond il ne reste plus beaucoup de temps pour profiter d'un tarif réduit, c'est jusqu'au 15 novembre!

 

Megève : une nouvelle piste de luge de 3 km
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9 novembre 2017 4 09 /11 /novembre /2017 21:03

Vous vous rappelez certainement les soucis rencontrés par M. Thomas Scheulcher le propriétaire du moulin de Messy, qui a eu la surprise de se voir demander deux taxes d'habitation et deux taxes foncières pour la propriété du moulin de Messy. Il doit ce traitement de faveur à l'arrivée de la nouvelle municipalité. Relisez notre article du 26 septembre dernier qui vous racontait dans le détail tous ses déboires. Nous relations dans celui-ci l'entrevue qu'il avait eu avec le maire le 20 septembre 2017, à l'issue de laquelle le maire devait, pensait-il mettre un terme à cette situation kafkaïenne.

Comme promis, un mois et demi plus tard, cette situation excessivement compliquée voit enfin une réponse concrète et pleine de bon sens. On voit là tout le pragmatisme de notre maire qui... botte en touche.  Voici le contenu du courrier envoyé à M. Scheulcher :

Le propriétaire du moulin de Messy a reçu une réponse du maire de Mieussy!

Quand on voit l'efficacité du maire pour régler le problème du fils d'une adjointe, dans son rejet de permis de construire... On peut légitimement penser que selon l'origine des citoyens le traitement des dossiers ne se fait pas de la même manière.

Mais apparemment ce fonctionnement ne dérange pas grand monde du côté des autorités de tutelle. C'est peut-être ça le plus désolant.

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31 octobre 2017 2 31 /10 /octobre /2017 18:09

Il va bientôt falloir y penser! La lecture de cet article du Dauphiné Libéré du 31 octobre 2017, intitulé "Les glaciers suisses ont perdu 1,5 milliard de m³ cette année" montre l'urgence qu'il y a, à en produire rapidement, et en grande quantité.

Voici le contenu de l'article :

1,5 milliard de m³ de glace en moins sur les glaciers suisses lors de l’année 2016-2017. Entendre le chiffre brut est effrayant. Le mettre en perspective ne l’est pas moins. L’Académie des sciences naturelles de Suisse, qui a publié son rapport hier, a ainsi estimé que cela représentait « une quantité d’eau qui permettrait à chaque ménage du pays de remplir une piscine de 25 mètres. » Si les Suisses ne sont que 8,5 millions, et que le nombre de ménages est inférieur, cela dit tout de même bien l’annus horribilis vécue par les glaciers, qui ont globalement perdu 3 % de volume.

Cette année hydrologique se classe d’ailleurs dans les trois plus mauvaise du siècle, juste après 2003 et sensiblement au même niveau que 2011. Les glaciers entre la partie occidentale de l’Oberland bernois et le Valais (le Tsanfleuron, la Plaine Morte ou encore le Griesgletscher) ont subi les plus fortes pertes, soit une diminution de l’épaisseur moyenne de glace de 2 à 3 mètres, ce qui est énorme selon les scientifiques. Ceux un peu moins exposés, comme celui du Rhône, n’échappent pas au non plus phénomène avec un mètre de moins.

Le volume de masse, témoin des conditions météo

La cause est évidemment à chercher dans la sécheresse et l’absence de précipitations de cette dernière année. Le volume de masse est un témoin immédiat des conditions météos, au contraire de la longueur des glaciers. Si ce critère semble pourtant le signe le plus évident du réchauffement climatique, il ne l’est en fait qu’à retardement. Les effets des très chaudes et très sèches années actuelles ne se verront que dans quelques décennies pour les glaciers moyens.

Pour les géants type Aletsch « les variations de longueur reflètent des tendances climatiques à long terme, de l’ordre du siècle. »

Autrement dit un peu comme on voit dans le passé lorsque l’on observe une étoile, regarder le front d’Aletsch, c’est voir le climat qui régnait au début du XXe  siècle. Ce qui n’est pas de bon augure au vu du réchauffement accéléré de ces dernières années…

Mais tout ça n'est pas bien grave puisque nos pistes seront enneigées, quoiqu'il advienne.

 

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  • : Le blog de collectifmieusserandeveloppementraisonnablesommand.over-blog.com
  • : Blog créé par des mieusserands soucieux que le développement de la station de Sommand se fasse de manière raisonnable, dans l'intérêt général des habitants de la commune. Ce développement doit prendre en compte le respect de l'environnement, une augmentation raisonnable des impôts locaux, du coût du forfait et de l'endettement de la commune.
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